Dieu ayant jugé que tout ce qu'il avait créée était bon, il créa ensuite l'homme et lui donna autorité sur toute sa création.
Mais l'homme dans sa naivété, son ingratitude et son souci de rivaliser avec Dieu son créateur, se laissa tromper par le diable.
Ainsi celui-ci devint non seulement dangereux pour son propre créateur, mais aussi pire pour son semblable.

Au royaume de PLACAM regne un dieu vivant, détenteur de tous les pouvoirs, rivalisant meme avec le Créateur. Il a le pouvoir de
vie et de mort sur tous ceux qui ne lui sont pas fideles, mais alors comme des chiens.
Jean Paul Mbende, puisqu'il s'agit de lui, est un véritable gourou. C'est lui qui décide de tout dans son royaume: des salaires,
passant par des sanctions aux licenciements. Il a meme réussi a imposer un syndicat dont lui seul connait la légitimité, un syndicat
dont lui meme serait le président, puisque c'est lui qui sélectionne les candidatures a la délégation de ce syndicat pour ensuite apres
des élections frauduleuses et dont on qualifierait meme de non lieu, choisir ses propres délégués du personnel, des personnes
n'ayant aucunes notions de délégué et dont les fonctions restent fictives parce qu'ignorant du role qui est le leur et du pouvoir
qu'ils exerceraient au sein de l'entreprise s'ils étaient libres de tout engagement aupres de leur gourou.

Malheureusement tout comme nous, ils savent que quiconque ose soulever contre le tout puissant signe automatiquement son arret de mort.
Ceux qui se sont entetés a faire entré un nouveau syndicat au sein de l'entreprise en sont témoins, puisque ces derniers recevaient
au lendemain meme des dites élections des sanctions préalables a leurs licenciements, c'est-a-dire des mises a pieds allant de 6 a 8 jours,
ménacant meme de sanctionner a leur suite tous leurs membres ainsi que les 3/4 de l'usine avaient refusé d'aller aux urnes a cause de la
non reglementation de ses élections.

PLACAM est devenu au Cameroun, la premiere entreprise de production de produits ligneux comme le bois ou les ouvriers travaillent encore pieds nus,
sans gants de protection, sans cache-nez, sans casques, sans sécurité sociale, sans prime du risque, sans prime de production.

Dans un entretien qu'il a eu avec la section Contreplaquet, Jean Paul Mbende a déclaré je cite : " C'est moi qui décide de tout. J'ai le pouvoir de
décider que cette entreprise change, si je veux bien. Mais a l'heure actuelle, il n'y a que Dieu qui puisse changer PLACAM".

Les ouvriers de placam souffrent le martyr. Les licenciements sont quasis quotidiens et avec pour indemnité de licenciement des sommes allant de
212.000 frcs a 594.500 frcs pour des ouvriers de 5 a 10 ans d'ancienneté.
Ce pouvoir de terreur qu'impose cet imposteur ou ennemi de ce pays est favorisé par le cancer qui ronge notre pays a savoir la corruption.

Jean Paul Mbende connait tous les couloirs des palais de justice de la ville de Douala et de la délégation régionale du travail et de la sécurité sociale.
Dans un échange qu'il aeu avec les ouvriers lors des élections des délégués du personnel, il a déclaré haut et fort, je cite " j'ai de l'argent , allez vous plaindre
ou vous voulez, j'aurais toujours gains de cause", comme pour dire qu'au Cameroun, le gouvernement a délaissé le secteur privé et que la corruption est devenue le
moteur de notre société, une cléf qui ouvre toutes les portes.
Les fonctionnaires qui s'occupent du secteur du travail ne font pas normalement leur travail, ils sont a la recherche de leur mangeoire. Pendant ce temps, leurs
compatriotes souffrent et d'autres trouvent la mort.
Pourrait-on prétendre etre en joie quand il y de la tristesse chez le voisin? la véritable paix intérieure c'est quand on est en harmonie avec la nature.

Tout ce qui est cité dans ce texte est prouvé, soit par des photos, soit par des documents scannés. Chers compatriotes et citoyens du monde, il y a urgence a placam.

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 http://associationdesdebrouillardsdeplacam.unblog.fr/2016/04/15/voici-lhomme-qui-defit-les-autorites-camerounaises/

Merci.